Avec l'entrée en vigueur de la nouvelle loi sur le renseignement en 2017, le Service de renseignement de la Confédération (SRC) s'est vu doté de nouvelles capacités de surveillance. Contrairement aux promesses faites lors de la campagne électorale, celles-ci sont également utilisées pour surveiller le trafic de données en Suisse.
Les négociateurs du Parlement et du Conseil européens sont parvenus à un accord concernant la réglementation de l'intelligence artificielle. L'approche basée sur les risques, à la base du projet, est confirmée. Des compromis sont censés garantir la protection contre les risques liés à l’IA, tout en encourageant l’innovation.
Le canton d'Argovie ne développe plus de projets IT en collaboration avec Xplain pour le moment. C'est ce qui ressort d'une réponse du Conseil d'Etat argovien à une intervention parlementaire. Après la découverte de la cyberattaque en juin dernier, les projets avec le prestataire Xplain ont été suspendus jusqu'à nouvel ordre, indique le Conseil d'Etat. Une task force dédiée coordonne et documente toutes les mesures pour les applications touchées par la cyberattaque.
Le Conseil fédéral a précisé les tâches qui vont incomber, dès le 1er janvier 2024, aux nouvelles unités administratives impliquées dans le domaine de la cybersécurité. L’Office fédéral de la cybersécurité (OFCS) reprendra «dans les grandes lignes» les tâches de l’actuel NCSC. Une nouvelle entité, le Secrétariat d’Etat à la politique de sécurité (SEPOS), sera compétente en matière de politique de sécurité et de sécurité de l’information.
Apple, Microsoft, Google, Amazon, les géants de la technologie adoptent tous les passkeys comme alternative aux mots de passe. Le système a aussi de quoi séduire les entreprises, tant pour sa sécurité que pour sa simplicité, gage de moins d’appels au support technique pour réinitialiser un mot de passe.
Suite à l’attaque contre le prestataire Xplain, des données sensibles issues des enquêtes du Parquet fédéral sont sur le dark web, selon les d'investigation du quotidien Le Temps. Une procédure de mise à jour d’un logiciel de Fedpol ne se serait pas déroulée comme le prévoit un protocole pourtant mis en place.