Découverte d'une faille de sécurité chez CFF et chez CembraPay
«Des escrocs ont acheté à mon nom des billets de train pour 450 francs»
Lorsque Reto Pfammatter trouve un rappel de paiement dans sa boîte aux lettres, il se pose des questions. Pourquoi doit-il payer plus de 450 francs pour des billets CFF… qu'il n'a jamais achetés! Le Suisse s'est fait usurper son identité avec une arnaque simple.
La centrale nucléaire de Gösgen, dans le canton de Soleure, mise sur la technologie des drones pour sa sécurité et l'inspection. Aujourd'hui, la publication involontaire d'images suscite le débat.
Le groupe Vidymed, avec 100'000 consultations annuelles, fait face à une cyberattaque. Les autorités vaudoises sont mobilisées pour contenir l'incident. L'ampleur et les conséquences de l'attaque sont en cours d'évaluation.
Un rapport longtemps tenu secret ne présente pas le Service de renseignement de la Confédération sous un jour favorable. Les espions suisses ont agi de manière illégale et très peu professionnelle: pendant des années, ils ont traqué des hackers sans autorisation.
Les escrocs par hameçonnage sont de plus en plus sophistiqués. Actuellement, des e-mails circulent au nom de Swisscom, promettant des remboursements de factures trop élevées.
Après que la Confédération a mis en garde contre les cyberattaques, les CFF ont décidé de remplacer leur logiciel russe Infotrans. Plus facile à dire qu'à faire: la Suisse manque de compétences pour développer son système et cela est très coûteux.