Le groupe Vidymed, avec 100'000 consultations annuelles, fait face à une cyberattaque. Les autorités vaudoises sont mobilisées pour contenir l'incident. L'ampleur et les conséquences de l'attaque sont en cours d'évaluation.
Mise à jour du 28 octobre 2024: Depuis le jeudi 24 octobre, il est impossible de se connecter et de s'enregistrer via Onelog, Single Sign-On porté conjointement par plusieurs entreprises de médias suisses, en raison d'une cyber-attaque. Les répercussions de la cyberattaque se poursuivent, indique un communiqué daté d'aujourd'hui 28 octobre.
Onelog souligne collaborer intensivement avec les entreprises concernées pour rétablir les services affectés dans les prochains jours. Des enquêtes sont menées pour évaluer l'ampleur de l'attaque, en coordination avec les autorités suisses et européennes. En raison de l’enquête en cours, aucun autre détail ne peut être divulgué. Onelog promet de communiquer des informations complémentaires dès que possible.
La presse alémanique a révélé samedi que neuf parlementaires suisses auraient été visés par une attaque informatique chinoise en hiver 2021. Après avoir mené l'enquête, le ministère américain de la Justice accuse sept membres d'un groupe de hackeurs proches du gouvernement chinois.
La cyberattaque menée en 2021 par un groupe de hackeurs semble concerner une centaine de politiciens et politiciennes dans le monde. Plus précisément, les personnalités politiques qui ont été visées portent un regard critique à l'égard du gouvernement chinois.
Après la cyberattaque dont a été victime le Centre Hospitalier d’Armentières dans la nuit du 10 au 11 février 2024, la direction commune CHU de Lille / CH d’Armentières a engagé des mesures d’urgence et de sécurité pour assurer la continuité des soins, garantir la sécurité des patients, et protéger les données face aux attaques des pirates informatiques.
L’industriel allemand, spécialiste des piles et des batteries, s’est déclaré victime d’une cyberattaque. Plusieurs sites de production sont à l’arrêt.
À la suite d’une cyberattaque ayant touché SolarWinds Corp., la SEC a déposé une action civile contre la société qui aurait trompé les investisseurs sur ses pratiques en matière de cybersécurité. Cette action civile met en évidence, d’une part, les mauvaises pratiques adoptées par la société, et d’autre part, l’importance accrue que la SEC porte sur les informations en matière de cybersécurité que les sociétés publient à l’attention des investisseurs.
Le canton d'Argovie ne développe plus de projets IT en collaboration avec Xplain pour le moment. C'est ce qui ressort d'une réponse du Conseil d'Etat argovien à une intervention parlementaire. Après la découverte de la cyberattaque en juin dernier, les projets avec le prestataire Xplain ont été suspendus jusqu'à nouvel ordre, indique le Conseil d'Etat. Une task force dédiée coordonne et documente toutes les mesures pour les applications touchées par la cyberattaque.
L'assureur qui veut s'opposer au paiement de la prestation d’assurance suite à une cyberattaque, en invoquant les sanctions américaines, doit prouver que la cyberattaque a servi les intérêts d'une entité visée par ces sanctions et qu'il risque ainsi concrètement d'être réprimandé par l'autorité américaine compétente. Le simple fait que le type de logiciel utilisé pour la cyberattaque en question soit habituellement déployé par un groupe de cyberpirates sous sanction (in casu Evil Corp) ne suffit pas pour refuser le paiement de la prestation d’assurance.