Après la cyberattaque dont a été victime le Centre Hospitalier d’Armentières dans la nuit du 10 au 11 février 2024, la direction commune CHU de Lille / CH d’Armentières a engagé des mesures d’urgence et de sécurité pour assurer la continuité des soins, garantir la sécurité des patients, et protéger les données face aux attaques des pirates informatiques.
L’industriel allemand, spécialiste des piles et des batteries, s’est déclaré victime d’une cyberattaque. Plusieurs sites de production sont à l’arrêt.
VIGINUM dévoile l’activité d’un réseau baptisé « Portal Kombat », constitué de « portails d’information » numériques diffusant des contenus pro-russes, couvrant positivement l’invasion russe en Ukraine et dénigrant les autorités de Kiev, afin d’influencer les opinions publiques notamment françaises.
À la suite d’une cyberattaque ayant touché SolarWinds Corp., la SEC a déposé une action civile contre la société qui aurait trompé les investisseurs sur ses pratiques en matière de cybersécurité. Cette action civile met en évidence, d’une part, les mauvaises pratiques adoptées par la société, et d’autre part, l’importance accrue que la SEC porte sur les informations en matière de cybersécurité que les sociétés publient à l’attention des investisseurs.
Avec l'entrée en vigueur de la nouvelle loi sur le renseignement en 2017, le Service de renseignement de la Confédération (SRC) s'est vu doté de nouvelles capacités de surveillance. Contrairement aux promesses faites lors de la campagne électorale, celles-ci sont également utilisées pour surveiller le trafic de données en Suisse.
Le 3 janvier 2024, une partie du trafic IP à destination de la filiale espagnole d'Orange n'a pas été transmis, en raison d'un problème BGP, le système dont dépend tout l'Internet. Une nouveauté, par rapport aux nombreux autres cas BGP du passé, est qu'il semble que le problème vienne du piratage d'un compte utilisé par Orange. Quelles leçons tirer de cette apparente nouveauté ?
Suite à une faille de sécurité, l’été dernier, dans l’application «MobileIron», également utilisée par la Police cantonale bernoise, des données d’utilisatrices et d’utilisateurs avaient manifestement pu être téléchargées et consultées. Une enquête a permis d’identifier plusieurs personnes prévenues. De plus amples investigations sont en cours.